Promenade de nuit ~Libre~

Invité

Emiko était là, ce soir là. De sa chambre, elle avait vu les étoiles puis son regard avait subitement remarqué les sublimes lumiéres du parc d'attraction. En elle-même, la jeune adolescente avait sourit. Cela faisait longtemps qu'elle n'était pas allait dans un parc d'attraction.

Alors, elle s'était retrouvé dans ce parc, seule. Tout entourée de couple, de famille qui riaient. En fait, elle savait qu'elle n'avait rien à faire ici parce qu'elle était seule.... Complétement seule.

La jeune femme remarqua alors un joli ours en peluche. Sans rien dire, comme d'habitude, Emiko s'approcha du stand et relooka toute les installations. Les mains dans les poches, la bouche fermée, la jeune femme regarda les gens jouaient en riant.

*Hum... Je n'aurais peut-être pas dû venir.... Retournons dans ma chambre*

Et soudain, elle bouscula quelqu'un...

Invité

(ze peux?)

Sui Generis marchait dans la ville de Cristalia, n'en croyant pas ses yeux: Il se trouvait dans une ville de Shinigami, cencement des ames tristes convoyants les morts. Visiblement, les rapports que lui avait fourni le superieur de son ordre datait quelque peu: Non seulement les Shinigami etait bien plus nombreux qu'une simple ecole et ils n'avaient pas l'air triste ou malheureux du tout. Du moins pas outre mesure.

Ses oiseaux miroirs l'avaient averti de la presence d'une fete foraine. Dans un pays de suicidé, l'idée semblait tellement incroyable que le gardien avait aussitot interompu sa quete de Kazuki Tamachi pour venir verifier les rapports de ses oiseaux espions.

La fete foraine existait bel et bien.

Les gens s'amusaient, riait et il y avait meme des couples. Impensable.
Tout compte fait, cela ne derangeait pas vraiment le gardien, apres tout ces ames avaient bien le droit a une seconde chance et les morts continuaient d'etre guidé par l'au dela.

Cependant, pendant qu'il visitait les instalations il entendit de drole de rumeur concernant l'ecole: Celle ci aurait etait partiellement detruire et une guerre intestine la ravageait chaque jour un peu plus.
Vraiment, tout ceci etait bien etrange et le jeune gardien resolu de retourner dans les vestiges de l'ecole pour retrouver la directrice.

Cependant, alors qu'il s'appretait a reprendre sa route, il remarqua une jeune Shinigami qui ne semblait pas particulierement heureuse, meme plutot triste. Il s'aprocha d'elle doucement, elle semblait regarder les gens jouer avec melancolie, sans doute devait elle etre nouvelle dans ce pays et pas encore remise de sa mort.

Soudain elle se retourna d'un coup et tomba nez a nez avec Sui Generis, manquant de peu de tomber.

Le gardien la rattrapa in extremis, lui permettant de de ne pas tomber

"Toutes mes escuses, Damisela j'ai manqué de prudence. Je ne vous ai pas fait mal"

Sui Generis sursauta en se rendant compte qu'il avait prononcé l'un des mots dans sa langue maternelle, ce qui ne lui etait pas arrivé depuis fort longtemps.

"Je me nomme Sui Generis, de l'ordre Gardien. Pardonnez mon outrecuidance, mais vous ne semblez pas partager l'atmosphere de fete de ces lieux"

Le jeune Gardien souriait gentiment, sa question n'etant motivé que par sa curiosité et son eternel desir d'aider les autres.

Invité

[Si cela ne te gêne pas d'attendre le week-end pour jouer avec moi ^^ ]

Emiko se frottait légèrement le nez, Et puis ausi, cela lui faisait drôle de ressentir la douleur alors qu'elle était morte... Mais pouvez-t-on dire qu'elle était vraiment morte alors qu'elle se promenait dans ce parc d'attraction ?

L'adolescente était tout aussi surprise d'avoir bousculé quelqu'un. Peut-être parce qu'elle penser que, comme dans le monde des vivants, personne ne l'approchait... Puis, lorsque la surprise du moment lui passa, et elle rougit. Son regard atterit rapidement sur ses chaussures sans vraiment regarder comment la personne qui lui parlait était. Emiko savait juste que s'était un homme... Et cela lui suffisait pour être gênée...

-C'est à moi de m'excuser... Je n'aurais pas dû m'éloigner des gens de mon clan.

Elle s'inclina trés bas, comme on le faisait dans son pays lorsqu'on voulait s'axcuser, puis se releva. Emiko avait les joues rouges maintenant.

-Je crois que je vais vous laisser.... Je ne fais que vous déranger.

Elle se tut. Nerveuse, l'adolescente passa sa main dans ses cheveux bruns puis torilla les doigts.

-Et puis, vous avez peut-être autre chose à faire que me parler...

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