Le dojo

Jambo fronca les sourcils. La jeune femme s'était fait maitriser par le guerrier et maintenant au sol dans une position critique elle provoquait son adversaire. Que pouvait-il bien se passer dans sa tête ? Qu'allait faire son adversaire ? Elle l'incitait à continuer sa prise jusqu'au bout... Allait-il avoir le courage d'aller jusqu'au bout.

Gringan s'était mis dans une situation difficile. Il avait utilisé une prise des plus humiliantes sur une jeune femme. Les codes de l'honneur voulait que tant qu'un des combattants n'abandonne pas, son adversaire ne pouvait pas s'arreter.

" L'Honneur de deux Tohan est en jeu... Lorsque les dés sont jettés, impossible d'arreter la partie " lanca Jambo, comme parlant à lui même.

Kogara n'en pouvait plus de cette chose qui ressemblait à un combat, il était de plus en plus énerver et cela n'était réellement pas bon pour heu ...

Soudain alors que le combat était manifestement perdue pour Scarlett elle refit un coup d'une bassesse sans nom, chose que Kogara n'était pas à même de pardonner.

Un entraînement était un entraînement et on y avait un grand code de l'étique et du devoir, à la guerre ... la mort frappe les faibles c'est ainsi et l'on ne peut rien y faire à part protéger les gens que l'on aime.

Alors que Grigan avait voler sur un bonne distance suite au coup de Scarlett, elle essaya du lui prendre les jambes afin sans doute de le faire voler ou quelque chose comme sa ...

*???* Allons va donc calmer cette pimbêche fils du feu, elle représente presque tout ce que tu déteste et elle est un danger pour ta belle Saya
*Kogara* Il suffit je ne vous ai rien demander à vous!

C'était la goûte d'eau qui fit déborder le vase, Kogara était dans une colère noir et on pouvait sentir sa colère autour de lui, lui d'habitude calme et rayonnant d'une aura bénéfique ... etait-ce du passé après cette guerre?

Il se releva alors et disparut de l'emplacement ou il était pour apparaître derrière Scarlett son long katana était sortie de son fourreau et était a présent au niveau de la gorge de Scarlett d'ou une goûte de sang était en train de perler.
C'est d'une voie d'ou l'on pouvais sentir la colère et ou le ton était sans équivoque qu'il lui dit doucement.

"Je suis déçus par ton comportement ici ... cela fait deux fois déjà en très peut de temps, tu aime tuer ... j'ai tuer tout mon village, par le feu et les ténèbres ... tuer ne me fait rien, en temps de guerre neutraliser quelque signifie le tuer, en entraînement c'est le mettre dans un position ou il n'a plus d'échappatoire ... retourne t'asseoir avant que je ne m'énerve d'avantage tu pourrai passer un très mauvais moment ..."

Sans autre forme de procès il la renvoya à travers l'autre bout de la salle sans ménagement, il allait falloir la calmer et pour sa hisoka-sama était le roi.
Il releva alors doucement Grigan afin de l'asseoir et se retourna pour faire face à la jeune demoiselle.

Kogara avait rejoind son ami Grigan, il avait menacé Scarlett avec sa lame et l'avait renvoyer de l'autre coté de la salle, Scarlett n'avait pas fait expres de jeter Grigan contre le mur mais elle ne regreta pas. Scarlett s'etait retrouver par terre, elle avait blesser Kogara avec ses coup bas, ces gens avec une soif de justice la faisait marre, elle se releva doucement et fit semblant de pleurer.

"Pourquoi etes vous si mechant, vous etes à deux contre moi une pauvre fille sans defense, je ne fais que me defendre."

On pouvait voir qu'elle jouait la comedie, elle aimait se moquer des gens quel que soit leurs puissance ou leurs pouvoirs, elle n'aimait tout ce qui touchait à honneur mais elle se resiliait à jouer le jeu, car tous ces hommes autour d'elle n'aimait pas sa façon de faire. Scarlett se mit à rire.

"Bon à deux contre une je n'ai aucune chance, je me rend."

Elle leva les mains en l'air en souriant, comme si on l'avait pris en flagrant deli, puis elle tomba sur ses fesses, epuiser par ce petit combat, elle etait fatiguer. Elle decida de rester assis, decidement elle n'etait pas tres aimer ici.

[HRP:Kogara t'es pas drole, me renvoyer à l'autre bout alors que tu n'as pas de pouvoir de la sorte c'est pas marrant, on aurait pu encore s'amuser.]

Jambo esquissa un sourire. La jeune femme avait tout d'une folle. C'était une détraqué assoifée de violence. Elle avait cette fougue des chiens enragés et une energie surprenante enfouie en elle.
Jambo la detestait sans doute pour sa gout du sang et les paroles qu'elle avait proférée sur les femmes qui avait, comme profané la mémoire de sa mère. Mais il la regardait avec un grand sourire. Pas un sourire de bienveillance, mais un sourire de combattant qui sent la fièvre de la violence l'envahir.

Katsura était en retrait pour observer chaque mouvement des personnes présente dans le dojo. Bien entendu au début du combat, Grigan avait le dessus sur Scarlet. Mais dès qu'il relacha son étreinte, scarlet ne se priva pa de refaire un coup bas qui envoya valsait grigan. Katsura n'eut le temp d'nitervenir car Kogara fut le premier. Il envoya scarlet à l'autre bout de la salle sans ménagement. dès lors qu'elle l'attégnis Kurogane le gentil familier de grigan sortit de son corp puis fit une vingtaine de clone en directionde scarlet. Mais d'un effort surhumain, Grigan réussi à rappelé son familier. Scarlet eut pour la première fois, une peur incontrolable. Puis elle fit son petit discourt et s'en alla. Katsura se dirigea vers Grigan lui tendit la main pour qu'il puisse se relevait.

"Grigan sa va, pas trop de mal. Tu sais je suis surprit de la force qu'elle à developpé sans le savoir mais bien sur elle a du mal à s'en servire heureusement pour nous."

Puis katsura se tourna vers Kogara puis Jambo. Les observa avec attention et se dit que pour la suite, s'il devait combattre il aurait voulu plutot affronter Jambo que Kogora. Puis il prit la parole.

"Bon puisque scarlet et partit nous pouvons réellement nous entrainer. Du moins plus serieusement donc le combat d'entrainement suivant nous désignons qui? Personnellement je voudrait faire quelque étirement mais bon je peux passer cet exercice."

L'incident entre la jeune femme et l'autre combattant avait réveiller en Jambo un désir de combattre. Il s'avanca vers le centre du tatami qui servait de zone de combat :

" Je suis partant pour un combat à mains nues entre adversaire respectueux. Allez, qui vient m'aider à dérouillé mes muscles ?"

Jambo dit cela en souriant, sa voix trahissait la plaisanterie, mais aussi la confiance en soit. Il était impatient, il n'avait pas eu l'occasion depuis longtemps de mettre en pratique le résultat de ses durs entrainements quotidiens.

Katsura attendit pour être sur que personne ne veuille se mesurer à Jambo. Puisque personne se rapprocha au centre du tatami alors Katsura enleva son haut de Kimono qui fit apparaitre un débardeur noir pour être plus à l'aise et décrocha son Katana puis le posa non loin pour qu'il puisse sentir si une personne ne lui prend. Mais il faisait confiance à Kogara et à Grigan. Puis s'avanca pour se mettre en face de Jambo.

"Moi je suis partant même je suis moi à l'aise sans mon katana. Il faut bien que je m'entraine pour m'améliorer sur ce point et l'homme n'a peur de rien si c'est pour défendre un être cher. Tu est prêt, moi je le suis tu peux attaquer quand tu le souhaite mais attention se ne sera pas si facile que ça. Je suis un bon combattant même si je n'en est pas l'air."

Katsura se mit dans sa position de défense, bras droit et main tendu vers l'avant, son autre main au niveau de sa tête. Ses pieds parallèle, et perpendiculaire à son bras droit. Et lui fit signe de sa main droite pour lui informer qu'il était prêt.

Katsura prit une position défensive et fit un signe à Jambo pour l’inviter au combat. Ce dernier s’avança en marchant ; il observait son adversaire qui avait adopté une position d’art martial. Jambo avait pratiqué toute sa vie la boxe américaine ; il était bien plus lourd que son opposant et ne risquait pas trop de voler par une prise. Katsura n’était pas très musclé et plutôt maigre, cependant Jambo se méfiait, il avait déjà eu du mal contre des boxeur thaï ou des combattant kung fu très chétif.

Jambo approcha en garde, les poings callés sur ses pommettes. Sa bouche faisait une moue grimaçante : il collait sa langue contre son palais ; afin d’éviter qu’un uppercut dans la mâchoire la coupe. Il s’approcha de son adversaire qui restait en position défensive et une fois à distance lui asséna trois coup de poings, la première droite fut bloquer par la garde, la gauche qui suivit fut paré par un geste rapide, le crochet, que Katsura esquiva à moitié, alla trouver violement son épaule.

Jambo avait commencé le combat doucement, tout d’abord pour s’échauffer, mais aussi pour sonder les forces de son adversaire, qui se révélait être assez rapide. Il tournait autour de Katsura de son pas dansant, conservant une garde irréprochable, et attendant une attaque de son adversaire pour le contrer.

Jambo attaqua dès que Katsura lui fit signe, il commença par droite que katsura put parer facilement puis Jambo envoya directement un gauche que katsura put l'esquiver mais le troisième coup lui toucha violement l'épaule. Une douleur intense se fit ressentir mais que Katsura ignora car en plein combat les combattants ne doive pas s'arrêter à cause d'une douleur superflu. Jambo utiliser surement la boxe américaine, Katsura ne connaissait guère ce type de combat mais il était sur d'une chose, c'était que Jambo n'était pas aussi rapide que lui. Donc Katsura misa sur la rapidité de frappa et d'esquive certe cela n'infligé pas beaucoup de dommage mais à la longue cela était très efficace. Puis il passa à l'attaque.

Katsura couru en direction de Jambo lui asseigna quatre coup souple, rapide et bien placé. un en direction de la tête que Jambo para d'une main. Puis décocha un au niveau du foie, esquiver. Puis un coup de genou qui fut paré en direction des intestins puis enfin une droite vers son arcade mais manque de chance manqua sa cible. Katsura recula le plus vite possible puis essaya de provoquer gentiment son adversaire.

"Ah! un bon adversaire pour un bon entrainement, d'accord tu est rapide et tu as de bon reflexe mais ce la ne suffit pas, et bravo tu as réssis à ne prendre aucun de mes coups. Oui, tu est fort mais ce n'est qui petite parcelle de ma vrai vitesse."

Bon Katsura ne mentait pas, il était très rapide mais il avait utilisé à peu près la moitié de sa vitesse réel. Puis Katsura essaya de préparé un plan pour qu'il puisse destabilisé son adversaire. Puis il se mit en position de défense au cas où Jambo eu l'idée de l'attaqué lorsqu'il montait sa stratégie. Katsura se dit que se combat risquait d'être intéressant, un combattant ayant une frappe lourde et puissante face à un combattant avec des coups rapide et plaçé.

Jambo avait controlée la situation ; Katsura était très rapide, mais il n'avait pas voulu se jetter d'entrée dans le combat. Il était évident qu'une fois au corps a corps Katsura, plus leger, ne résisterait pas longtemps aux crochets violents et fulgurants de son opposant, aussi semblait-il miser sur la distance et des attaques fulgurantes. Jambo lui allait devoir harceler son adversaire, le bloquer à courte distance et le finir rapidement.

Jambo s'approcha de son jeu de jambe rapide sur Katsura qui s'était mis en position défensive. Un pas vers la gauche, découvrit le coté droit de son adversaire, la feinte de corps avait marché, le crochet de Jambo fonca vers le visage découvert... Katsura esquiva habilement.

- Il avait donc de la vitesse en réserve - pensa dans le boxeur dans le feu de l'action.

Maintenant c'était Jambo qui était en difficulté, Katsura s'était décalé prestement et son adversaire avait la garde entrouverte.

La journée d’Hisoka ne vaut même pas la peine d’être résumé, car même résumé celle-ci est trop longue et trop complexe pour dire qu’il s’agit effectivement d’un résumé de sa journée. Elle ne fut pas particulièrement stressante ni excessivement élevé en émotion, du moins pas pour notre très cher maître, car il ne faut point oublier que contrairement à bien des gens, celui-ci fait face au stress et aux émotions plus facilement que bien des gens. Étant un être très discipliné, celui-ci à de toute évidence à faire en sorte que cette maîtrise de soi soit à présent une partie tout à fait naturel de son être et de son esprit, bien qu’aujourd’hui ce qui constitue sont être n’est que sont esprit. Celui-ci espérait pouvoir faire en sorte que les habitants de la cité de Laiyos, les Tohans, ses apprenants, puissent un jour avoir une très grande maîtrise d’eux même, car selon le maître il s’agit là d’une vertu première pour la formation de tout honorable et bon combattant. Honorable n’est pas exactement le terme que celui-ci puisse utiliser lorsqu’il ce doit de décrire les habitants de Crystallia. Une ville remplis de magiciens sans honneur et incapable de faire quoi que ce soit sans leur magie. Certes le maître Toshimitsu maîtrisait la magie, mais il la méprisait avec le plus grand des dégoûts, voyant ce que ce genre de pouvoir est capable d’entraîner, il ne voit point l’utilité de l’enseigner à des gens incapable de ce contrôler. Depuis longtemps le maître eu dit que la base de tout est en soi. Depuis longtemps celui-ci enseigne les arts du büdo, mais trop d’imbécile croyant que ces arts sont inutiles ce sont retourner pour apprendre la magie.

Enfin, celui-ci n’avait pas exactement le temps de s’amuser à haïr la magie, il avait trop de chose à faire, trop de chose à planifier. Un être moyen ne pourrait sans doute point faire ce que celui-ci accomplie en l’espace d’une journée. Bien que mort celui-ci possède à présent l’éternité devant lui, il ne souhaitait pas passer son éternité à rien faire. De plus, plus celui-ci prend son temps à enseigner l’art des büdo, plus les gens ont tendances à joindre les Seishuu. Que des lâches! Ayant peur de travailler! Préférant utiliser la magie, une voie facile, une voie sans sacrifice, une voie sans honneur! Voilà ce qu’est la voie des Seishuu! Elle n’a rien à voir avec celle des Tohan! Certes le peuple Tohan est vu comme étant des grosses brutes par les étrangers, principalement par les Seishuu, mais c’est tout simplement du au fait que cette bande d’ingrat n’y comprend absolument rien de rien aux arts enseignés par le peuple Tohan. Ils croient qu’ils sont que des grosses brutes sans cervelles qui ne pensent qu’à ce taper sur la gueule, mais cela n’est que parce qu’ils ont l’habitudes de rencontrer de jeunes Tohan jouant aux durs et aux grands! Des jeunes Tohan qui n’ayant pas encore appris ce que c’est d’être un Tohan et d’en porter le nom. Certes Hisoka peut être très brutal et violent, mais dans toute cette violence et cette brutalité des plus sanguinaire, celui-ci demeure noble et gracieux. Regardez le se battre et vous comprendrez ce qu’est la violente grâce, la douce brutalité, ce qu’est la sanglante beauté!

Bref, cessons de parler de tout ça! Après cette longue journée, le maître Toshimitsu voguait candidement vers le döjo pour sa session habituel de méditation et d’entraînement solitaire. Seul, dans le silence absolu et harmonieux du döjo, celui-ci pouvait trouver le calme afin de méditer paisiblement, de réfléchir, de s’entraîner, de faire chanter la lame parfaite de Tsuki, son Katana, qui naturellement était toujours accompagné de Hoshi, sa Wakazashi. Le pas aussi léger que la brise, magnifiquement vêtus, comme toujours, de son splendide kimono de couleur neige, celui-ci s’avançait de plus en plus vers le döjo après avoir quitter le confort de ses quartiers. Les vêtements de celui-ci donnaient l’impression de parfaite harmonie avec son corps. Ses cheveux aussi blancs comme neige, son visage blafard, ses prunelles argentées, celui-ci donnait l’impression d’être une divine incarnation, un ange ce dirigeant candidement vers sa destination.

Naturellement calme, ce n’est qu’en s’approchant de plus en plus de sa destination et en entendant les premiers bruits d’un combat que celui-ci commença à ce questionner. Une froide colère montait en lui alors qu’il pu voir que ses oreilles ne l’avaient pas tromper et qu’il y avait effectivement un combat dans le döjo. Il s’approcha donc calmement et en silence. Observant la scène froidement via ses prunelles de glace. Le döjo étant un lieu sacré, il s’agissait là d’un lieu de pratique et d’enseignement traditionnellement sous la tutelle d’un être supérieur, soit notre cher maître ou bien un assistant. Apparemment, il n’y avait aucun assistant et notre maître n’était point présent. Il ce mit donc à observer tout simplement afin de voir combien de temps cela prendra avant qu’un de ses abrutis remarque sa présence. Notant le désordre dans la salle, il ce dit que cela ne sera point sans sanction. Il demeura donc là, en silence. Sont sombre regard de glace posé sur les quelques jeunes Tohan présents dans le döjo. Sa froide colère était présente dans son regard des plus sépulcral et menaçant. C’est après un moment de silence que la voix du maître, sombre et profonde, s’éleva. Sèchement dit, dans ce qui pourrait sembler être un cris, mais qu’en fait n’était que dû au fait que le maître Toshimitsu avait élevé le ton de sa voix afin de ce faire bien comprendre.

« Lequel d’entre vous va ce présenter devant moi afin de m’expliquer ce que je vois devant moi! »

Étant un homme de principe et de tradition, il n’est point question que le döjo soit utiliser sans supervision. Après ses quelques paroles, celui-ci repris avec le même timbre de voix.

« Apparemment les leçons ne sont pas suffisamment longue puisque vous venez en dehors des heures d’enseignement! »

Il ne fit que quelque pas sur le parquet en bambou, flottant presque sur celui-ci. Le maître était réputé pour sa grâce, pour sa beauté, pour sa légèreté, mais aussi comme étant un vrai monstre sous son visage angélique, froid comme l’hiver, un cœur de glace. Autant celui-ci pouvait représenter la sagesse, celui-ci pouvait aussi être craint. Il ne dit plus rien, attendant la réponse d’un d’entre eux.

La venue du Maître avait interromput le combat.

- Quel domage, moi qui voulait essayer le résultat de mon entrainement- pensa Jambo.

Ce dernier ne laissa transparaitre aucune émotion. Il arreta immédiatement le combat, et s'inclina devant le Senseï. Il lui adressa la parole, d'une voix respectueuse et soumise, le regard baissé vers le sol.

" Senseï vénéré ; puissiez vous pardonnez vos enfants Tohan. Nous étions en train de revoir nos techniques de combat, en vue de la situation qui s'aggrave et s'enflamme chaques jours un peu plus avec les autres clans belliqueux. Ordonnez, et il sera fait selon votre volonté, Seigneur. "

« Lequel d’entre vous va ce présenter devant moi afin de m’expliquer ce que je vois devant moi! »

Les pires craintes de Kogara venaient de se cristalliser lorsque leurs maîtres était apparus devant eux et ils n’étaient pas du tout présentable … surtout avec deux excités du combat en train de faire montre de leurs ... capacitées de plus limité du point de vue d'Hisoka c'était certain...

Un élève c'était lever, c'était Jambo et il essayait de se faire comprendre ou plutot de s'excuser sans la moindre once de regret apparentent avec des excuses plus ou moins valable et véridique mais pas forcement aux yeux de leurs maîtres.

Le désordre qui régnait autour d’eux lui faisait honte, il avait espéré attendre tranquillement la venue d’Hisoka mais à la place il était tombé face a une jeune crétine et a deux énergumène bien trop soucieux de ce que pense les autres, et avide de combat inutile.

Tranquillement Kogara alla se placer en face d'Hisoka-sama et mis un genoux sur les tatamis, mais avec un sentiment d’appréhension de la part de la réaction du maître des lieux.

« Bonjour maître Hisoka, comme vous pouvez le voir nous vous attendions en ces lieux ou nous savions que nous pourrions vous trouver, malheureusement tous ne peuvent pas attendre dans le calme et la méditation … Je vous présente toutes nos excuses pour le désordre qui règne dans le dojo. »

Kogara jeta un regard en arrière vers l’ensemble du groupe en espèrent que ceux-ci comprendraient le message et ce calmeraient tout de suite quoi que la simple présence d’Hisoka-sama avait suffit à les congelés net comme des statues.

* Alignez vous par pitié j’ai honte de nous la …*

« Je tenais à vous dire également que la forge était de nouveau opérationnel et que j’allais bientôt reprendre l’activité qui avait quitté ce lieu afin de servir au mieux notre communauté. »

Katsura qui était très concentrer pour son combat n'entendu la voix du maitre vénéré mais lorsque Jambo s'arrêta de combattre et qui s'adressa au maitre vénéré, Katsura se retourne d'une vitesse affolante. Il croisa le regard du maitre Hisoka et compris qu'il était dans une colère noir. Jambo essaya de s'excuser mais Katsura remarqua que cela n'avait aucun effet. Katsura savait que le maitre était très sévère lorsqu'on enfraint les règles. Puis katsura rassembla tout son courage puis se posa à côté de Kogara. Il savait qu'au moins Jambo et lui risquait d'avoir une punition exemplaire. Ensuite il prit la parole d'une voix sure tout en étant respectueux envers le maitre vénéré.

"Excusez-nous, je sais je vous n'aimez pas lorsque nous contournions les règles que vous imposiez. Je pense que se sera la première et la dernière fois que nous faisons cela. Ne punissez pas Kogara ni Grigan puisque depuis le début, il n'ont rien fait et pardonnez Jambo puisque c'est moi qui l'est poussait à bout car je voulez me battre avec un combattant qui est à l'opposez de mon type de combat. Je suis prêt à assumez toute la responsabilité qui m'est du."

Katsura savait qu'après cela se serait lui qui aurait la punition et il en serait rassuré que personne d'autre soit puni car pour lui la franche camaraderie est plus importante que la douleur physique ou même psychologique d'ailleur lorsqu'il était vivant il n'avait jamais pu agir comme ça puisqu'il n'avait jamais eu d'amis. Donc se serait la première fois de ses deux vie puis scarlet à l'étonnement de Katsura était revenu mais malencontreusement elle s'était exprimer un peu familièrement avec le maitre puisqu'elle ne l'avait jamais recontrer. Pour cela Katsura essaya de redressait le tir.

"Excusez-là, puisqu'elle ne vous avez jamais vu, elle ne savait pas qui vous étiez réellement. Donc pardonnez-là ou même punissez là à ma place de toute façon je doit-être punis alors si l'on rajoute la sienne, je ne verrais pas la différence car pour moi la douleur physique n'est rien comparé à la douleur psycholigique."

Le regard de glace du maître Toshimitsu venait de cristalliser l’ensemble du döjo, dans un sens poétique bien entendu, car il serait erroné de dire que l’endroit en tant que tel c’est transformé et c’est frigorifié. Notre austère protagoniste n’ayant point apprécié le spectacle qu’il avait vu ne pouvait que ce faire de glace. La froide colère, malicieusement sombre et froide, du maître Toshimitsu était pour l’instant candidement non exprimé, enfin elle l’était, mais de façon très contrôlé. Que son sombre regard laissait transparaître cette colère grandissante en lui. Son visage des plus androgyne ne laissait transparaître rien du tout, placide et froid comme à l’habitude, le miroir parfait de son cœur de glace. Aucune expression trahissant la colère ressenti par celui-ci, on aurait pu croire que celui-ci était complètement indifférent face à ce qui c’est passé en ce lieu sacré, mais quiconque serait suffisamment sot pour croire une telle chose devrait regarder un instant ses prunelles. Certes de glace, mais son regard parlait pourtant. Une légère différence entre son regard des plus serein et celui qu’il avait en ce moment même, cette légère différence en frigorifiait plus d’un. De plus, tout Shinigami connaissant sa réputation sait très bien qu’il n’est point du genre à rester indifférent face à ce genre de sacrilège.

Autant celui-ci fut en colère, il était à présent plus qu’amusé par leur réaction. Oh cruel personnage qu’est Hisoka, voyant la torture psychologique et physique comme un jeu. Il les trouvaient complètement pitoyable en ce moment à bafouiller d’innombrables excuses, des supplices, des requêtes pour une miséricorde. C’est toujours amusant de voir le fautif chercher ses mots les plus humbles afin d’implorer la miséricorde avant leur jugement, mais cela est tout simplement pitoyable lorsqu’il s’agit de gens connaissant parfaitement les règles établis, mais les transgresses tout de même. Implorer votre maître afin qu’il vous accorde son pardon, implorer le au nom de votre salut, demandez pardon et donnez lui le nom de tous vos saints si cela vous amuse, cela ne fait que vous rendre d’autant plus pitoyable! Il est cruellement amusé notre cher Hisoka, sombre dans sa lumière, démoniaque dans sa divinité et dérangé dans toute sa sagesse, il ne peut qu’être amusé en voyant des gens ce prosterner devant lui en implorant sa miséricorde. Ridicule, complètement ridicule. Si seulement un seul d’entre eux avait pris la parole au nom de tous. Si seulement l’un d’entre eux n’avait point été aussi lamentable dans ses paroles, ses gestes des plus humbles n’auraient point été en vain. Justifiant leur gestes par des mots dénué de sens.

Certes tout cela est bien amusant, du moins durant un moment, car passé ce délai, les lamentables excuses ne sont rien plus qu’un chant ayant perdu toute sa mélodie, ils ne sont plus des mots, mais que du bruit. Leurs belles paroles implorants sont pardon n’ont su que l’amuser momentanément. Les rares paroles l’ayant un peu moins amusé furent celles du jeune Dekrel ainsi que celles d’une jeune demoiselle qui de toute évidence ne savait pas à qui elle avait affaire. Mitsuoki lui cherchait à l’excuser pour son manque de respect envers le maître, mais bon, plus il y pensait, plus il trouvait cela pitoyable. Mais tout cela su amener un léger sourire sur son splendide visage limpide. Ah son magnifique petit sourire, rarement de bon augure. Celui-ci s’approcha légèrement de ses quelques apprenants, les regardants froidement avec son petit sourire des plus séduisants, mais au combien menaçant et malicieux.

S’avançant candidement, flottant presque sur le parquet tel un ange, l’ombre blanche qu’est le maître Toshimitsu s’annonçait des plus ténébreuse pour les jeunes Tohan. C’est avec son léger sourire malicieux que celui-ci pris la parole. La voix douce et calme de celui-ci ne semblait point être malicieuse, mais pourtant c’est en cette magnifique performance vocale que celui-ci cache toute la beauté de sa cruauté.

« Pauvre enfants implorant ma miséricorde, je suppose qu’il serait bon et juste de vous l’accorder… »

Légèrement pencher afin de relever légèrement la tête de Dekrel afin de le regarder froidement dans les yeux, Hisoka ne put s’empêcher de remarquer que la jeune nouvelle tentait de filer en douce tel un Seishuu l’aurait fait. Délicatement, tout en ce déplaçant légèrement, le maître releva le menton des autres, puis ce redressa. Le regard de celui-ci était des plus complexe, froid et chaleureux à la fois, bienveillant et malicieux, à lui seul, celui-ci peut être un vrai théâtre.

C’est d’un pas léger et rapide qu’Hisoka ce déplaça face à la jeune demoiselle qui lui était parfaitement inconnu. Cette même demoiselle qui avait confondu le maître avec une femme. Il est vrai que celui-ci possède un visage plutôt androgyne, il peut parfois ressembler à une divine créature de la gente féminine. Poursuivant ses paroles tout en empruntant le même timbre de voix, il s’adressa cette fois-ci à cette jeune demoiselle.

« Oh mais ne nous quittez point, car vous seriez une véritable Seishuu , restez, rejoignez les autres afin que je puisse vous donner votre prochaine leçon! »

Ce retournant vers les autres tout en balayant l’air de son bras de façon un peu théâtral, voir d’une grâce excessive, celui-ci n’était point au bout de son beau discours.

« Vous me semblez être si passionné et souhaitez apprendre, alors je vais vous enseigner moi! Car après tout, tel est mon devoir enfants Tohan! »

Aussi légèrement que lors de son précédent déplacement, le maître retourna devant eux afin de poursuivre.

« Mais d’abord, j’aimerais que l’un d’entre vous me récite haut et fort les règles sacré du döjo » Courte pause « Toi! » Pointant en direction du jeune Meiyo « Tu semble avoir tant que chose à raconter! Alors parle! Récite moi le tout! »

La tête baissé vers le sol en bambou, Jambo attendait que l'orage passe.

Etait-il convaincant dans son rôle de soldat éprouvant une foi aveugle pour son maître ? Ses longs cheveux cachaient son visage, agenouillé comme un élève soumis et implorant le pardon, il devait être des plus méprisable. Mais qu'importe, même si ce Senseï sentait quoique ce soit, il ne lui donnerait pas l'occasion de se faire punir ; tant que ses gestes et ses paroles ne trahissait pas le dégout et le mépris qu'il avait pour ce type perdu dans lymbes de la folie narcissique. Quoi d'autre qu'un fou et un méchant pouvait parler de sagesse sans en comprendre réelement le sens ? Jambo resta immobile attendant que le temps s'écoule, il se réfugia mentalement, récitant les verset de Salomon sur la Sagesse, et attendit que passe la tempête.

Katsura était très tendu car Maitre Hisoka ne les rata pas. Avait-il peur du maitre. Oui, car sont apparence ne montrait guère sont caractère. Il était très sticte et aimait bien les punitions corporelles. Katsura voulait demander alors où, il pourrait-il aller s'entrainer en dehors des heures de cour au dojo, il ne pensait pas sinon se serait dehors mais il pourrait être espionné. Le meilleur endroit serait le dojo mais est-ce que le sensei voudrait. Il faudrait le convaincre mais comment. A moins qu'il suffit de demander, le mieux c'est de lui poser la question.

"Toshimitsu-sama, je voudrait vous poser une petite question à propos du dojo et de l'entrainement. Je voulais savoir si l'on pouvait venir au dojo pour s'entrainer avec votre permission bien sur, je ne voudrait pas que l'on est à nouveau cette situation assez déplaisante que se soit pour vous et pour nous."

*J'espère qu'il répondra favorablement à cette question car si l'on ne s'entraine que lors des cours nous ne progresseront pas forcément vite.*

"Je vous demande ça car avec des entrainement en plus que l'est votre nous permettra de progresser encore plus vite que si nous n'avions que des exercices pendant vos cours. Mais si vous répondez défavorablement je vous demande où nous pouvons nous entrainer en toute discrétement pour que personne puisse nous déranger lors de notre entrainement."

Spoiler:

Hisoka avait réagit d’une bien étrange manière, ce que n’était vraiment mais alors vraiment pas bon signe … à l’heure actuel, on ne pouvais savoir si il allait réagir de manière violente ou bien calme … cela stressait légèrement Kogara …

C’est alors qu’il avait relevé la tête à toutes les personnes devant lui avec son habituel visage androgyne au teint blanc.
Décidément Kogara ne comprenait pas le maître des Tohan … Alors Scarlett revins parmi eux … avec son habituel maintenant dédain envers les autres et se regard qu’elle cherchait à cacher derrière des belles paroles et son corps féminin … un jour ou l’autre il faudra qu’elle se calme … elle était désormais chez les Tohans et non pas chez des Yakuza simplement violent ou des toxicos du sang et du combat.

Malgré tout voyant qu’elle avait gaffer sur le maître qu’elle ne connaissait pas elle avait chercher à partir discrètement du dojo, était-elle fourbe et vicieuse au point de penser pouvoir s’en sortir comme sa … et son mépris pour ses compagnons, même si elle ne méritait pas vraiment ce titre pour le moment était probant … elle allait devenir un source de problème … kogara en avait bien peur …

Hisoka-sama avait entendu ou écouté aller savoir … les réponses évasives et plus ou moins fonder de chacun avant de relever le visage de chacun et avait traiter Scarlett de manière asser sèche mais toujours avec ce ton distant et sans sentiment qui le caractérisait tant et qui pouvait couvrir une grande tempête, la journée allait être difficile, ce n’était pas encore sur mais c’était pas gagner d’avance.

Ensuite le maître des lieux leurs parla,

« Vous me semblez être si passionné et souhaitez apprendre, alors je vais vous enseigner moi! Car après tout, tel est mon devoir enfants Tohan! »

* Ouf il ne la pas mal pris enfin peut être*

Furent les premières penser de Kogara a cette phrase, mais cela annonçait-il une séance d’entraînement avec le maître ou bien autre chose …

« Mais d’abord, j’aimerais que l’un d’entre vous me récite haut et fort les règles sacré du dojo »

Cela ne gênait pas trop Kogara, après tout ayant été élevé dans la voie du bushi elle n’était pas différente de c’elle d’Hisoka, il fallait maintenant attendre la personne désigner par Hisoka-sama.

« Toi! »

Kogara ne silla pas, après tout lui ou un autre qu’elle différence cela allait faire, malgré tout à la moindre erreur il craignait le pire, mais si il faisait une erreur il était prêt à en assumer les conséquences.

« Tu semble avoir tant que chose à raconter! Alors parle! Récite moi le tout! »

*Aie, pourquoi cette dernière phrase je n'y suis pour rien moi dans tout sa, aller reprend toi Kogara et parle*

« Oui maître. »

A peine Kogara avait-il dit cela que déjà une nouvelle personne avait commencé à parler, mais pourquoi ne pouvait-il pas tout simplement obéir et attendre que Hisoka ne lui donne la parole … Grigan et les autres n’avait rien dit et semblaient avoir compris qu’il valait mieux faire profil bas pour le moment, Hisoka-sama n’était pas une personne à prendre a la légère et pouvais devenir asse violent, le souvenir du cours avec Aki lui revins en mémoire …

« Le dojo est un lieu ou nous nous devons de trouver notre propre voie en tant que guerrier mais aussi de pratiquer la méditation, il n’est pas la pour faire montre de notre force mais pour purifier notre corps et notre esprit et nous permettre de nous élever.

Nous avons aussi six règles à respecter quand nous sommes dans ces lieux.

La première étant que cet endroit es consacré à l’enseignement et qu’il est de devoir d’honorer et de suivre l’enseignement du maître.

La deuxième est que chacun d’entre nous doit aider à la création d’une atmosphère positive dans l’harmonie et le respect de chacun afin que nous puissions tous évoluer dans notre voie de guerrier.

La troisième est que chacun doit participer dans le maintien d’une bonne qualité du dojo, cela grâce au nettoyage régulier et volontaire du dojo ainsi que d’une bonne hygiène personnel sans faille. »

Kogara commençait à se demander si la façon dont il énoncé les règles du dojo était correct, mais il devait continué, Hisoka-sama les lui avait demandé et il n’allait pas faillir à cela.

« La quatrième est que le dojo ne doit servir en rien d’autre qu’aux séances de cours ou d’entraînements prévus par le maîtres des lieux ou bien par son adjoint.

La cinquième règle est que les enseignements du maître ou de son adjoint ne seront donnés que sur acceptation du maître, elles ne pourront jamais être acheter cela étant une marque d’irrespect et de déshonneur de la part de la personne proposant cela.
Toutefois, la cotisation mensuel sera présente afin d’assurer aux élèves un lieu ou étudier et pour montrer la gratitude que nous avons envers notre maître.

Enfin la sixième règle est que nous devons respecter le maître des lieux ainsi que son enseignement. Nous devons aussi respecter le matériel que nous utilisons mais aussi et surtout se respecter soi même. »

Voila il avait terminer avec les règles qu’on lui avait enseigner, il espérait n’en avoir oublier aucune et les avoir bien défini.
Maintenant il ne pouvait faire qu’une seul chose, attendre la réponse d’Hisoka-sama.

Son regard de glace candidement posé sur ses apprenant, le maître n’affichait aucune émotion semblable à n’importe quelle émotion qu’un être vivant pouvait ressentir. Froid comme l’hiver, le léger sourire qui avait jadis su brièvement apparaître sur son visage de porcelaine était à présent complètement disparu. À présent il n’affichait plus rien, hormis cette légendaire expression des plus froide. Un visage d’ange parfaitement graver dans le marbre, magnifique et froid. Il écoutait à nouveau les complaintes des jeunes enfants Tohan sans jamais leur répondre. Les seuls signes démontrant que le maître en combat n’est point une statue réside dans les quelques mouvements de ses yeux alors que celui-ci s’amuse à observer les jeunes Tohan, à les poignarder spirituellement qu’avec son regard. C’est pour lui un jeu, une distraction, un plaisir des plus sadiques. Certes la puissance du maître n’équivaut point celles du roi et de la reine Shinagami, mais il existe une toute aussi grande différence de puissance entre celui-ci et les enfants Tohan. Sans doute l’ignorent-ils, mais ils finiront par l’apprendre.

Ses prunelles argentées se sont candidement posées sur le jeune Jambo, qui de toute évidence malgré la magnifique performance qu’il offrait au maître, ne pouvait point cacher son profond dégoût pour celui-ci. Il est vrai que Toshimitsu-sensei peut être à l’occasion un être plutôt monstrueusement dégoûtant dans son sadisme et sa manière d’agir. Il se dit que par moment il devient un peu fou, narcissique, que le pouvoir qui l’habite le fait déliré et que tout ce qu’il fait n’est que de la pure folie et que tout cela est dénué de sens, mais d’un tout autre côté, son envi de combattre, son plaisir à massacrer, à danser et à faire chanter son Katana est des plus fort et des plus attirant. De son vivant, le maître fut élevé pour devenir ainsi, ce que les gens appellent communément un monstre, mais pour certain celui-ci est un ange. Un ange blanc ayant besoin du sang d’autrui pour vivre. Ils ignorent le passé de leur maître et celui-ci conserve le tout précieusement.

Il écouta les paroles de Mitsuoki, sans toute fois lui répondre, de toute façon le jeune Meiyo pris immédiatement la parole. Dictant haut et fort les règles du döjo, comme lui avait demandé son maître. Dans sa voix, il était très facile de distinguer une certaine crainte, sans doute avait-il peur du châtiment qui lui serait réservé au cas où celui-ci se trompe. Mais croient-ils tous que leur maître ne peut être bon? Mais si il peut être bon! Oh le maître Toshimitsu, il n’est pas un monstre, il n’est pas fais que de cruauté. Si ce serait le cas, il est fort probable que le roi et la reine l’auraient déjà arrêtés bien avant aujourd’hui, c’est un fait! Sinon pourquoi le laisserait-il diviser se monde en deux pour anéantir la seconde moitié? Alors que ses songent se baladaient dans l’esprit d’Hisoka, le regard de glace de celui-ci c’était peu à peu transformé en une froide flamme. Sa folie s’affichait légèrement, mais sans plus.

« Debout! Enfants Tohan! »

Il regarda brièvement le jeune Mitsuoki puis rapidement, trop rapidement pour qu’un de ses enfants Tohan puisse comprendre la rapidité de ses mouvements, celui-ci se trouvait derrière le jeune Shinigami, lui murmurant doucement à l’oreille.

« Oh, mais c’est que vos questions sont magnifiquement brillantes »

Il se déplaça à nouveau, mais cette fois-ci près du bord du döjo. Celui-ci murmura doucement, mais ses mots semblaient être aussi puissant et fort qu’un cri.

« Tout d’abord, avec ma permission, il vous est certes possible de venir en ces lieu… mais je ne crois point avoir reçu de requête pour cela… »

Le maître sorti du döjo, puis attendit ses enfants Tohan à l’extérieur.

« Venez mes enfants… vous souhaitez progresser… alors vous aller progresser… »

Il attendit candidement qu’ils arrivent et exigea alors qu’ils soient nu pieds et en ligne. Lors que le tout fut exécuté, le maître balaya gracieusement l’air de sa main, puis sous leurs pieds, une flamme bleutée apparue.

« Je n’ai point l’intention de vous punir mes enfants… mais simplement de vous montrer ce que cela implique d’être un Tohan! Lorsqu’il vous sera impossible de supporter la douleur, vous pourrez alors vous retirer… ceci ne semble rien avoir avec l’apprentissage de büdo, mais si c’est ce que vous croyez, alors vous êtes complètement sots mes enfants! Utiliser votre esprit afin de d’apaiser votre douleur, apprenez à utiliser cette énergie qui vous habites… car les techniques ici ne sont rien si vous êtes incapables de maîtriser entièrement ce que vous êtes, la puissance que vous possédez… »

D’un second geste, le maître rendit les flammes plus puissante, légèrement plus puissante, car il ne souhaite point les tuer. Silencieux, devant eux, il les observe alors que les pieds de ses enfants Tohan se font brûler par les flammes. Créé à partir d’une faible partie de l’énergie du maître, celles-ci vont légèrement torturer les jeunes Shinigami jusqu’à ce que ceux-ci apprennent ce que cela signifie d’être ce qu’ils sont. Pas des Tohan, mais tout simplement des Shinigami.