Second Cours

Katsura se déplacé en direction de la cour pour participer à son premier cour d'étude de créature une fois arrivé devant la porte porte qui menait à la cour une excitation monté en lui car il vait entendu parlé des familier et il avait hate d'avoir le sien. Et à quoi ressemblerait le sien puis perdu dans ses pensée il ne s'était pas apercut qu'il était arrivé. Il se rendit compte qu'il se retrouvait nez à nez à deux serpents bleus mais en regardant plus attentivement, il remarqua que les serpent tenait dans leurs machoires importante, deux pancartes qui était écrit dans l'une premier cour, vous allez à droite et sur l'autre Les autres à gauche .Puisque Katsura n'avait participé à un seul cour il se dirigea à droite puis il apercut que Mayura mais elle n'était pas seule une autre personne était à côté d'elle, ce doit etre le professeur Seith.

"Bonjour Mayura. Professeur."

Puis Katsura s'installa dans un coin attendant que le cour commence.

Katsura était assit sur un banc, il été en pleine méditation en attendant que le cour commence. Depuis qu'il était arrivé, il avait dévellopé une capacité spéciale, pouvant ressentir des présence. Il ne savait pas comment il l'avait acquise mais bon. Depuis il avait ressenti que deux personnes était arrivé l'une qui était allé à l'opposé de sa position donc il s'est dit qu'elle avait du participé au premier cour. Mais l'autre personne, elle s'était dirigé dans sa direction. Il senti que cette personne, s'était installé à côté de lui et engageant la conversation. Katsura reconnu sa voix, c'était Grigan son partenaire pour les travaux pratique.

"Ah! Salut Grigan, comment sa va? je ne savais pas que tu n'avait pas participé au premier cour. Donc je suppose que tu n'a pas de familier. Moi j'ai hate d'avoir le mien. Et toi?"

Katsura se détenda en atendant que Grigan lui réponde.

Grigan demanda à Katsura si lui aussi était impatient de l'avoir, et il lui répondu presque du tac o tac bien surexcité.

"Oulala! il faut pas me le dire 2 fois, j'ai vraiment hate de l'avoir mais il va surement avoir un petit problème car par contre il faudrait trouvé un nom et moi j'en ai aucune idée mais en fait j'hésite entre diablo et stag. Et toi tu as une petite idée?"

Katsura était content car il se sentait beaucoup moins seul depuis qu'il était arrivé dans l'école puisque depuis il s'est fait plus d'amis ici que sur Terre et surtout que c'est personne avait vécu presque la même vie que lui et donc il le comprennait.

Katsura se demandé pourquoi Grigan lui demandé s'il connaissait la télévision, mais bien sur, il se rappelle encore comment il devait se battre dans son orphelinat pour pouvoir regarder le TV. Son émission préféré à l'époque était Ultraman mais peut etre que Grigan ne connait pas. Tout les matins, il se levé à 9h pour aller allumer la TV pour regardé le dessin animé. C'était les seul moment de sa vie où il avait un semblant de sourire.

"Oh! oui je connais bien la télé, et pourquoi tu me pose cette question. Il y a des personne dans l'école qui ne l'a connaissent pas. je viens du japon et je suppose l'année aussi........ben en 1980. Je me rappelle encore comme si c'était hier, les aventures d'ultraman. mais je ne sais pas si tu connais rigole. Et toi?"

Katsura avait peur que Grigan le prenait pour un idiot mais bon il faut toujours répondre en toute sincérité pour que tout le monde fasse de même et puis Grigan semblait l'être alors pourquoi il ne pouvait pas l'être lui aussi. Comme disait le père de Katsura, respesté autrui c'est respecté soi même.

Katsura écoutait attentivement la réponse de Grigan et c'est alors qu'il parla de dragon, qu'il en voudrait un pour familier. Katsura n'y avait songer, il n'avait pris le temp d'y réfléchir. Il trouvait l'idée de Grigan trés intéressante, mais il ne pourrait s'y faire puisqu'un dragon peut être dangereux pour autrui et pour soi même si son maitre n'a aucune compétence pour le maitrisait et lui ne pens pas les avoir. Non, il se résignait, c'est à ce moment là qu'il lui vient une idée, Katsura aimait beaucoup l'Egypte ancienne depuis son plus jeune âge et il pensait tout de suite alors à un sphinx.

"oui c'est sur c'est imposant et violent mais moi je me sentirais mal puisque je ne serais pas à la hauteur au fond de mon coeur, de mon âme je préfèreré un sphinx. Aussi doux qu'un gros chat mais aussi violent qu'un dragon. Moitié femme moitié lion avec des ailes. Le côté femme qui éblouiré chaque homme et le lion pour les déchiquetés et pour voler les ailes. voilà mon rève, mais bon on verra bien."

Katsura se replongea dans ses pensées, plutot sur le sphinx qui pourrait avoir mais il était presque sur qui le familier qui en sortirait serait un sphinx.

*Maintenant il faut le renommé parce que diablo ou stag irait mal voyont voir............................Néphertiti voilà je l'est trouvé. Mon sphinx Nefertiti j'espère qu'il pourra parler comme ça il pourra me tenir la conversation lorsque je serait un peu seul.*

Katsura encaissa dur ce que le professeur seith lui avait dit, il n'était pas là pour se faire marcher sur les pieds. Mais bien sur toujour avec le respect qu'il se doit, C'est quand même un professeur. Mais bon il fallait quand même répondre pour montrer qu'il n'était pas faible loin de là. Il prit une bonne bouffée d'air frais.

"excusez-moi professeur, d'une part je n'aime pas quand on se mêle de la vie privée d'autrui, c'est un manque de respect. Personnellement je trouve ça hodieu. Puis je sais que nous ne sommes pas en cours d'arts appliqués mais j'exposé simplement mon point de vue à Grigan juste ça.
Et comme je lui expliqué c'est mon désir le plus sincère, depuis que j'était orphelin j'avais trouvé comme passe temp de rechercher des renseignement sur des civilations anciennes notement sur l'Egypte Ancienne. Et depuis ce jour, je n'est fait que penser à cela. depuis que je suis arrivé ici, j'avait entendu parler des familier, qui était comme vous l'avait dit une représentation de l'âme. Et bien cet animal m'est pour ma part une bonne représentation de mon âme. Le buste de la femme qui représente la beauté donc la beauté de l'âme bien sur je pense que mon âme est suffisamment belle. Puis l'autre moitié, lion, qui veut dire le courage, cela veut dire que mon âme ne se laissera pas faire ensuite le tout signifie la beauté fatale tout comme mon âme."

Katsura avait parler de tout son coeur, il n'avait presque prit aucune pause pour son petit discourt. Il n'avait parler comme ça à personne, pour lui c'était une délivrance. Il ne savait pas qu'il pouvait le faire d'habitude à cause d'une timidité, il savait que tout le monde l'observait mais il s'en fichait tout ce qui l'importait c'est qu'il avait parlé avec son coeur rien d'autre.

Le cœur battant, les pieds légers et les épaules détendues, Hitomi déambulait comme à son habitude dans les couloirs de l’école sans se soucier du temps qui passait.
L’établissement, bien qu’austère, était un lieu d’asile confortable et assez agréable. Il était facile pour quelqu’un qui verrait cet endroit pour la première fois de s’y perdre. Mais, la jeune fille avait eu le loisir de s’accoutumer à son nouveau mode de vie.

« C’est plaisant de marcher tranquillement et de profiter de chaque moment... »
« Je me demande si ce cours sera aussi excitant que les cours précédents auxquels j’ai assistée » pensait-elle.

Tout en continuant de marcher, Hitomi ferma les yeux et se mit à rêver de son ancienne vie d’humain ordinaire. Les cours de l’Université… Les gens… Sa famille… Ses obligations de fille aînée… Toutes ses choses qui l’ennuyaient et la blessaient sans cesse.
Comme tout le monde, elle faisait semblant de rien, elle suivait le « troupeau » des âmes perdues dans cette immense foule sans visage. Elle se cherchait mutuellement dans chaque être qu’elle croisait sans pour autant trouver ce qui l’avait abandonné, le « goût de vivre ».

Soudain… BAAAAANNNNNNGGG !!!

« Aïïïïeeeuuuhhhh !!!! »

Perdu dans ses pensées, Hitomi venait de se cogner contre une poutre se trouvant en plein milieu de son chemin.

Elle effleure doucement sa tête de sa main droite et dit :

« Aïe ! Ma pauvre tête… Mais… Qu’est-ce que… »
« Hein ?!?! »
« Qu’est-ce que ça fiche en plein milieu du couloir ??? »

Elle se mit à réfléchir et murmura :

« Ce n’est pas vrai… Ce n’est pas le moment de penser à ça… Si je veux assister au début du cours suivant, il faut que j’arrive à l’heure. Et tant pis, pour cette poutre… même si je trouve bizarre qu’elle soit là… On dirait que l’on a fait exprès de la mettre ici, rien que pour m’embêter… ».

Malgré un mal de tête atroce, elle décida de reprendre ses pas. Elle emprunta un long couloir à la tapisserie récente, et pris un escalier biscornu, sculpté dans de l’ébène noir, pour se rendre à un niveau inférieur. Elle se dirigea ensuite vers la droite puis longea un autre couloir et tourna à sa gauche. Elle continua de marcher et sortit vers une cour extérieure où une légère brise tiède se leva. Le vent caressant ses cheveux soulevait timidement ses mèches rebelles. De sa lumière, le soleil se reflétait dans les yeux sombres de la jeune fille. Elle leva sa main droite et caressa délicatement une de ses longues mèches bleues qui paraissait danser au contact du vent.

« Tiens ! Apparemment, le brouillard s’est dissipée depuis longtemps » dit-elle.

Elle s’avança sur un chemin et vit deux énormes serpents bleus d’une laideur assez repoussante.

« Oh ! Mais ces deux créatures… ».

Chacun d’eux tenaient une pancarte assez lourde qu’ils mangèrent immédiatement. Puis, elle les virent déplacer les élèves un à un dans des directions opposées.

« Qu’est-ce qui se passe ??? »

Elle s’avança vers eux et les examina attentivement.

« Oui… Ce sont bien des Léviathans… Ces légendaires serpents de mer aux pouvoirs terrifiants… »

Hitomi connaissait bien ces mythiques animaux légendaires car son enfance a été bercée par les légendes folkloriques du monde entier. C’était, d’ailleurs, l’une des choses qui lui permettaient de rêver et de fuir son quotidien.

« Quelles bêtes fascinantes ! »
« Malgré votre apparence, votre force est bien réelle… Je peux le sentir… Mais… J’ai aussi la sensation que cette force est scellée par un puissant sort… Quel dommage… ».

Elle les regarda tendrement et se mit à les caresser sur la tête, au niveau de ce qui ressemblait à des oreilles. Ceux-ci avaient l’air d’apprécier le geste doux que leur procurait la caresse de la jeune fille.
Quelque soit leur apparence, Hitomi appréciait les animaux pour leur douceur et le réconfort qu’ils lui procurait. La seule ombre au tableau était une peur qu’elle ne pouvait contrôler à la vue de petits êtres velus aux regards multiples, les araignées.
Quand elle était encore une enfant, pour la punir, ses parents n’hésitaient pas à l’enfermer dans une pièce, sombre et poussiéreuse, qui se trouvait à l’arrière de leur maison, à l’abri des regards indiscrets. Les seules âmes qui lui tenaient compagnies étaient… des araignées… Traumatisée, ces êtres hantaient ses rêves et sont devenus son garde-fou…

« Bon ! Et bien maintenant, je dois m’en aller »
« Au revoir tous les deux. Prenez soin de vous »

Elle leur fit un signe de la main et se dirigea vers le groupe de personnes.
A cet instant, deux étranges animaux attira son attention. Le premier était un dragon noir qui se tenait près d’un garçon vêtu d'un jean bleu et d'un sweet à capuche noir. Le deuxième était un molosse à trois têtes qui dormait profondément à côté d’un garçon au sombre regard et possédant une lance dans son dos.

« Il me semble que ses deux jeunes gens me sont familiers… Je crois que je les ais déjà vu dans d’autres cours… »

Parmi eux, elle reconnut, aussi, Mitsuoki qui était près d’un autre garçon habillé d’un drôle de kimono. Tout comme Mitsuoki, il possédait aussi un katana dans son dos.

« Je ne pensais pas qu’il y aurait déjà autant de monde » pensa t-elle.

Elle s’approcha près du groupe et leur dit :

« Excusez-moi ! Je suis désolée de vous déranger »
« Bonjour, je m’appelle Reizei Hitomi du clan Luna. Je suis en 1ère année. Ravie de faire votre connaissance ».
« Est-ce bien ici que le cours sur l’étude des créatures doit avoir lieu ? »

Elle attendit un instant pour leur laisser le temps de répondre et sentit un regard timide posée sur elle, c’était Mitsuoki.

Elle le regarda et lui dit en souriant :

« Mitsuoki, il semblerait que l’on soit destinée à se rencontrer souvent ».
« J’espère que je ne suis pas en retard… »

Hitomi ne comprenait pas ce qui se passait mais elle savait qu'une discussion houleuse se produisait juste sous ses yeux.
Les autres avaient ignorés sa demande et se focalisaient sur la réponse que Mitsuoki allait donné suite à la provocation du jeune homme. Mais soudain un autre jeune homme entraîna Mitsuoki avant qu’il ait eu le temps de dire quoi que ce soit.

Hitomi était très énervée par l’attitude désobligeant de ce grossier personnage à la lance. Il avait commis une grossière erreur en la traitant ainsi. Même si elle semblait douce en apparence, elle n’en était pas moins une fille au caractère bien trempé.

Elle se calma un moment, reprit son souffle et cria :

« J’AI DIT EXCUSEZ-MOI !!!!! »

« Je ne voudrais pas être désagréable mais il me semble que j’ai posée une question qu’aucune personne n’ait eu la courtoisie de répondre ».
« De plus, votre attitude en dit long sur votre caractère »
« Vous n’avez aucune éducation et d’ailleurs ce n’est pas le fait d’avoir un titre ou d’être le plus âgé qui fait que l’on respecte une personne »
« Ce qui compte c’est la manière dont on se comporte avec les autres ».

Hitomi restait ferme sur ce qu’elle avait dit. Elle détestait les gens prétentieux et arrogants qui croient tout savoir et qui se permettent de donner des leçons sous la menace.

Cette fois-ci, elle ne se laisserait plus faire par qui que ce soit…

Jambo venait de sortir d'un cour particulièrement éprouvant. Il décida de prendre l'air et se dirigea vers la cour.

Il fut surpris d'y trouver un petit attroupement, et regarda, les yeux écarquillés, deux bestioles immondes qui serpentaient, des panneaux dans la gueule.

Curieux, il s'approcha, lu les pancartes, se placa dans le rang de gauche. Les élèves semblaient se quereller. Les bras croisés, sans se soucier des piallements autour de lui, il attendit que le professeur prenne la parole.