Urgence.

Après un cours de métamorphose très difficile, Ryugi porta Sytuki jusqu'à l'infirmerie. Le médecin l'a soigné, mais Sytuki dort toujours; Ryugi ne voulait pas la laisser, il resta auprès d'elle. Il lui caressait les cheveux.
"Jamais je ne permettrai à quiconque de te faire du mal. Je t'aime, Sytuki."
Sur ce, Ryugi embrassa Sytuki... Sur le front. Jamais il n'oserait sur la bouche... Et Sytuki se réveilla.

*Trois Ryugi?*
"Euh... Maintenant, tu n'en vois plus qu'un seul, rassures moi? Tu t'es évanouie, tu es devenue pâle... Je me suis inquiété, ton rythme cardiaque baissait... Et je t'ai porté seul jusqu'à l'infirmerie. C'est de ma faute, désolé. Si je n'avais pas utilisé ce pouvoir contre le taureau, tu ne m'aurais pas traversé, tu ne te serais pas cognée contre le sol... Je suis désolé."
Une larme coula sur l'oeil de Ryugi.

hj : sur l'oeil !? A là faut le faire !! xD

Sytuki sourit et le rassura qu'elle ne voyait plus qu'un seul Ryugi. Mais elle se demandait bien pourquoi il était aussi émotif à son sujet... Elle s'inquièta :
"Pourquoi dis-tu que c'est de ta gaute ? Ahh ! Je comprends maintenant d'où me vient ma blessure ! De toute façon, ça devait arriver donc ce n'est pas grave."

Elle sourit pus grimaca encore : le moindre effort lui faisait très mal et lui arrachait des petites piques de douleur.

hj: pourquoi c'est ma gaute?

"Si cela te fais mal, arrête de parler. Je refuse que tu te forces à souffrir pour moi. Et je refuse qu'une fille aussi jolie que toi souffre.
Si, c'est ma faute. Si cela devait arriver, cela veut dire que je n'ai pas été à la hauteur pour renverser le destin."

"Bien sûr! Reposes toi bien..."
Ryugi prit la direction de la sortie. A la porte, il se retourna, et dit:
"Je t'aime, Sytuki. Comme un frère aime sa soeur. Jamais je ne laisserai quiconque te faire du mal. Dors, maintenant. Il faut que tu te reposes."
Ryugi prit la couleur d'une tomate, se retourna, et oublia que la porte est fermée. BAM!("Je vais bien...")Il sortit de l'infirmerie. Le coeur léger. Comme une chenille laide étant devenu un papillon magnifique.

hj: j'aurais bien aimé connaître ta réaction.

hj : jolie ta dernière phrase !

Sytuki ouvrit soudain les yeux lorsqu'il avait fait sa déclaration d'amour. Mais juste après elle fut soulagée. Malgré l'épreuve qu'elle avait subit avec le couple Marco-Alice, elle se disait qu'elle ne pourrait jamais aimé quelqu'un d'autre que lui. Elle remercia d'une petite voix Ryugi et s'endormit, pas aussi paisible qu'elle l'aurait souhaité.

Ryugi ferma la porte de l'infirmerie en murmurant un petit "bonne nuit, Sytuki" à peine audible. Il repartit pour le cours de métamorphose. Surprise!
[-->voir cours n°1 suite]

Lorsque Ryugi partit, elle mit deux minutes avant de s'endormir. Son sommeil fut agité par des rêves qui se transformaient presque tous de suite en cauchemars où Ryugi, Marco et cette fille - qu'elle ne connaissait pa - étaient toujours présents.
Elle se leva sur un coude, inspecta la pièce et se souvint qu'elle se trouvait à l'infirmerie, porté par Ryugi d'ailleurs.
Sytuki enleva les couvertures et se leva, ses pieds nus touchant le dallage froid de sa chambre. Elle se chaussa et regarda sa montre : elle n'avait dormit que dix minutes ! Mais cela lui suffisait. Elle devait donc retourner en classe... Elle grogna et sortit de l'infirmerie.
---> Salle de cours de métamorphose]

Le lendemain, Ryugi arriva en courant, les yeux rouges, le nez éternuant et la gorge en feu. Ses paroles deviennent donc incompréhensibles...

"Boyou meuchi... Atchoum! meuchieu l'afiryé... Vous Atchoum! Vous oyé quéque Atchoum! quéque cho' cot les Atchoum! alleryie aux poi d'Atchoum! de chaaaaaaAtchoum! Dipi kchui tout pti, dik che vois un chaaaaAtchoum! ye dvien gavman malad com chehi... "

*Bonjour monsieur l'infirmier! vous auriez quelque chose contre les allergies aux poils de chats? Depuis que je suis tout petit, dès que je vois un chat, je deviens gravement malade comme ceci...*

[hj: C'est évidemment fait exprès que j'ai écrit un texte illisible, heureusement que j'ai marqué la traduction en pensée...]

Arikusu vit Ryugi, s'avanca vers lui et dit
"heu désolé, c'est de ma faute, éscuse moi "

Ryugi se retourna et vit Arikusu.

"Mais o, ch'é pAAAAtchoum! de ta fot... Che ché que t'ai' to chaAAAtchoum! doc i doi Atchoum! Êt chati... Ché pa gav... Atchoum! J'echpè que l'afiryé peu fai quéque cho... Atchoum! Ta fait pa pou moi, chAtchoum! va aller..."

*Mais non, c'est pas de ta faute, je sais que tu aimes ton chat, donc il doit être gentil... C'est pas grave, j'espère que l'infirmier peut faire quelque chose... Ne t'en fais pas pour moi, ça va aller...*

Arikusu eu un petit rire devant toute les mimique que faisait Ryugi mais elle éspèrait qu'il ne soufre pas trop.

"si jamais je peut faire quoi que ce soit pour t'aider,surtout n'ésite pas "

[-->vers sa chambre]

"Mechi beaucAtchoum!"

*Merci beaucoup!*

"mais non, de rien"

[hj: Tiens, je croyais que tu étais partie dans ta chambre...]

"Alo, meuchieu l'Atcoum! l'Afiryé, vou chavez quéqAtcoum! choh chi vou plait... Atchoum!"

*Alors, monsieur l'infirmier, vous avez quelque chose, s'il vous plait?*

(Hj: j'aller partir au moments ou tu m'as parler , maintenat, je suis parti)

Lorsque l'infirmier tendit une boite de comprimés à Ryugi, celui ci regarda la boite. Il y avait écrit Anti-allergène alors Ryugi prit un de ses comprimés, et l'infirmier lui dit d'en prendre un par jour, deux si il était en présence de choses dont il était allergique. La voix de Ryugi redevint claire, et les troubles disparurent.

"Merci monsieur!"

Ryugi partit de l'infirmerie.
[~~>>Vers la chambre]
[hj: désolé, mais l'infirmier tarde à venir...]